Paroles
LES MEMES CHANTS
Elle rêve d’une vie paisible avec vue sur le monde
Aux couleurs indicibles, aux heures fécondes
Elle garde au chaud dans son bas de laine l’appel d’un sourire…
Parfois quand le vent d’hiver engourdit sa maison
Et que sa voix solitaire quitte sa raison
Elle dessine des contrées lointaines et se perd en chemin…
Ton âme danse, presse le pas
Tous ces visages qui ne s’oublient pas
Les mêmes chants, mêmes espoirs
Qui tournent autour de toi, baisse les regards…
Quand le chahut de la ville a fermé ses volets
Quand dans son jardin les fleurs se sont fanées
Il reste une lueur au bout de la nuit, s’enfuit à jamais…
Ton âme danse, presse le pas
Tous ces visages qui ne s’oublient pas
Les mêmes chants, mêmes espoirs
Qui tournent autour de toi, baisse les regards…
Ton âme danse, presse le pas
Tous ces visages qui ne s’oublient pas
Les mêmes chants, mêmes espoirs
Qui tournent autour de toi, baisse les regards…
Auteur : Patrick Jouanneau
Compositeur : Natacha Barduzzi/Patrick Jouanneau
Arrangement/Clavier : Patrick Jouanneau
Guitares : Florent Maynard
Basse : Serge Champetier
Vocal : Natacha Barduzzi
TANGA
Dans un bistro du vieux quartier, des filles sirotent au comptoir
Un vague anis décoloré par plus d’eau qu’elles ne peuvent en boire
Des matelots en goguette, en recherche du bon temps
Repèrent alors les coquettes, qui les aguichent en dansant
La plus délurée se rapproche d’un mataf intimidé
Qui garde les mains dans les poches, quand la belle vient l’aborder
Elle minaude et se serre contre l’uniforme bleu et blanc
« Dis tu m’paierais pas un verre ?
Si t’en fauché en attendant… » Tanga
Tanga ne m’oublie, Tanga enlace-moi
N’aie pas peur de me plier
Tanga ne m’oublie, Tanga enlace-moi
Selon ta volonté
Tu es mon homme, je suis ta chose
Et ma vie fait comme une pause
Je suis à toi pour mon malheur
Je vis en toi et puis je meurs
Piétine-moi et si je pleure
Prends-moi Tanga contre ton cœur
Quand les néons seront éteints, je ne serai plus rien
Tanga ne m’oublie, Tanga enlace-moi
N’aie pas peur de me plier
Tanga ne m’oublie, Tanga enlace-moi
Selon ta volonté
L’étreinte se fait plus tendre, leurs lèvres s’effleurent se sourient
On pourrait même entendre de leurs cœurs la mélodie
Plus rien n’existe autour d’eux, que les accords de feu
Qui les transportent à cœur-joie
Caresse-moi et tant pis si les autres ne comprennent pas
Façonne-moi et conduis-moi vers l’extase
Langoureux, ténébreux je subis la loi de ton désir fou
Amoureux, ingénieux ta sensualité se joue de tout
Tanga, Tanga, Tanga…
Tanga ne m’oublie, Tanga enlace-moi
N’aie pas peur de me plier
Tanga ne m’oublie, Tanga enlace-moi
Selon ta volonté
Tu es mon homme, je suis ta chose
Et ma vie fait comme une pause
Je suis à toi pour mon malheur
Je vis en toi et puis je meurs
Piétine-moi et si je pleure
Prends-moi Tanga contre ton cœur
Quand les néons seront éteints, je ne serai plus rien
Tanga ne m’oublie, Tanga enlace-moi
N’aie pas peur de me plier
Tanga ne m’oublie, Tanga enlace-moi
Selon ta volonté
Tanga ne m’oublie, Tanga enlace-moi
N’aie pas peur de me plier
Tanga ne m’oublie, Tanga enlace-moi !
Auteur : Monique Barduzzi
Compositeur : Natacha Barduzzi
Batterie : Patrick Jouanneau
Basse : Serge Champetier
Violon : Pascal Dellalee
Accordéon Lead : Christophe Lampedecchia
Accordéon rythmique : Didier Levêque
Violoncelle : Catherine Marchand
Vocal : Natacha Barduzzi
ANNA
Anna compte les étoiles du fond de sa nuit
Tout là-bas la rumeur du bal s’enfuit
Même dans ses rêves les plus fous, Anna sait bien qu’il faudra grandir
Mais pour le moment loin, de tout Anna s’en fout
Pour le moment loin de tout, Anna s’en fout.
Anna ne donne ses sourires qu’au vent qui passe
Les bras tendus, elle attend de partir
Là dans son cœur pousse une graine, qu’elle sèmera au bout du monde
Pour tous les enfants et les fous, loin de la haine
Pour tous les enfants et les fous…
Que le vent m’emporte loin d’ici
Loin de cette ville au visage meurtri
Hisser la grand-voile droit devant
Et voir le soleil embraser l’océan.
Anna ne connaît pas l’histoire de son passé
Ni ce pays qu’elle a un jour quitter
Tout au fond de son âme dansent les mille feux de la liberté
Anna loin du brouillard s’élance…
Que le vent m’emporte loin d’ici
Loin de cette ville au visage meurtri
Hisser la grand-voile droit devant
Et voir le soleil embraser l’océan.
Que le vent m’emporte loin d’ici
Loin de cette ville au visage meurtri
Hisser la grand-voile droit devant
Et voir le soleil embraser l’océan
Et voir le soleil embraser l’océan.
Auteur : Patrick Jouanneau
Compositeur Natacha Barduzzi
Piano : Natacha Barduzzi
Batterie/ Clavier : Patrick Jouanneau
Basse : Serge Champetier
Violon : Frédéric Ladame
Vocal : Natacha Barduzzi
JE N’ VEUX PAS M’ REVEILLER
Si fort, si fort…
On comptait les étoiles sur fond de carte postale
Assis dos contre dos, on cherchait l’idéal
Qui nous amènerait vers un amour fatal
Qui nous guiderait dans un rêve boréal
On avait le vertige des amants qui s’unissent
C’était surtout magique, fallait pas qu’ça finisse
Je t’ai senti si fort sur mes mains sur ma peau
C’était tout un décor, c’était bon c’était beau
Je n’veux pas m’réveiller, je les tiendrai fermés
Que mes yeux se souviennent, que mes rêves te retiennent
Je n’veux pas m’réveiller non, sans toi à mes côtés.
Si fort, si fort…
Tout en moi s’est troublé, la carte postale déchirée
Mes moments si légers m’ont élevé m’ont secoué
Je sentais que je glissais vers la réalité
J’éprouvais la sensation d’un amour non consommé
Je ne voulais pas abandonner l’espoir
Les étoiles ne pouvaient me laisser choir
Je t’ai senti si fort sur mes mains sur ma peau
C’était tout un décor, c’était bon c’était beau
Je n’veux pas m’réveiller, je les tiendrai fermés
Que mes yeux se souviennent, que mes rêves te retiennent…
Fallait pas qu’ça finisse…
Je t’ai senti si fort sur mes mains sur ma peau
C’était tout un décor, c’était bon c’était beau
Je n’veux pas m’réveiller, je les tiendrai fermés
Que mes yeux se souviennent, que mes rêves te retiennent
Je n’veux pas m’réveiller non, sans toi à mes côtés.
Auteur : Sabine Canton
Compositeur : Natacha Barduzzi
Piano : Natacha Barduzzi
Batterie/Clavier : Patrick Jouanneau
Guitare : Florent Maynard
Basse : Serge Champetier
Vocals : Natacha Barduzzi/Nastasia Galatioto
JITEA
Pour ces jours où le temps s’accélère
Quand tout s’éparpille, tu perds tous tes repères
Lentement tu dérives
Doucement c’est l’hiver qui s’installe
Inlassablement pour cacher l’idéal
Vouloir atteindre l’autre rive
Et moi qui suis là devant toi
Sans même un désarroi
Je voudrais te dire ces mots là
Qu’il y aura des moments difficiles qui rendent fragile
Je ne baisserai pas les bras
Pour toi je vivrai ces mots là pour un exil
Dans un instant d’insouciance guider tes pas
Te serrer contre moi
Pour t’emm’ner sur mon île
Je t’attendrai à Jitéa
Je voudrais te protéger des pleurs
C’est pourquoi je n’aime pas voir couler l’eau de tes yeux
Refais-moi ce sourire
Pouvoir encore te murmurer des heures
Avec tous ces mots que tu inventais pour moi
Déjà tu dois partir
Pourtant moi qui suis là devant toi
Bercée de tant d’émois
Je voudrais te dire ces mots-là
Qu’il y aura des moments difficiles qui rendent fragile
Je ne baisserai pas les bras
Pour toi je vivrai ces mots là pour un exil
Dans un instant d’insouciance guider tes pas
Te serrer contre moi
Pour t’emm’ner sur mon île
Je t’attendrai à Jitéa
Pour y graver l’indélébile
Pour toi sera mon Jitéa
Auteur : Natacha Barduzzi
Compositeur : Natacha Barduzzi
Vocal : Natacha Barduzzi/Stella Cino
Batterie : Patrick Jouanneau
Basse : Natacha Barduzzi
Guitares : Florent Maynard
LIGNE DE VIE
Le train de la vie nous emmène à des vitesses irréelles
Ami, peux tu saisir ces rennes, suivre la voie qui te rappelle ?
Qu’aujourd’hui son feu brule en toi, brule en toi
A chaque gare des être attendent sur le quai des nouvelles chances
Pour prendre leurs places ils avancent
Vers la lumière leurs bras se tendent
Comment peut-on une seule fois imaginer
Refaire le scénario d’un film que l’on n’a pas joué ?
Dans les voitures montent les rires
Des enfants jouent, des vieux soupirent
Les joies les peines mêlent leurs chants
Et les amours prennent le vent
On n’ose même plus parler des rêves qui ont filés
Viens toi que j’aime, je t’emmène avec moi
Sur la ligne de ma vie, sur le fil de ma voix, suis moi…
Laisse-moi simplement t’imaginer une fois
Je vais murmurer cet air pour toi
Chanter pour que ton cœur n’ait jamais froid
Laisse tes peurs, et chante avec moi…
Viens toi que j’aime, je t’emmène avec moi
Sur la ligne de ma vie, sur le fil de ma voix, suis moi…
Laisse-moi simplement t’imaginer une fois
Je vais murmurer cet air pour toi
Chanter encore une fois
Le train de la vie nous emmène à des vitesses irréelles
Ami, peux tu saisir ces rennes, suivre la voie qui te rappelle ?
Qu’aujourd’hui son feu brule en toi, brule en moi…
Auteur : Patrick Jouanneau
Compositeur : Natacha Barduzzi
Batterie/Claviers : Patrick Jouanneau
Guitare : Florent Maynard
Basse : Serge Champetier
Vocals : Natacha Barduzzi/Laura Alexandre/Patrick Jouanneau
QU'IMPORTE
Qu’importe d’attendre si un jour ou l’autre tu soulages mes souffrances
Qu’importe de comprendre si toi aussi tu penses que c’est plus qu’une romance
J’ai mal, mal d’aimer
C’est peut-être normal mais j’ai tout épuisé
Mes jours et mes nuits se confondent
De tes mots de ta voix je m’inonde
J’ai mal, mal d’aimer pour moi c’est vital
je me sens désabusée
C’est un mal qui me ronge, qui émiette mes songes
Je voudrais te le dire mais j’ai peur, peur du pire
Qu’importe d’attendre si un jour ou l’autre tu soulages mes souffrances
Qu’importe de comprendre si toi aussi tu penses que c’est plus qu’une romance
Je marche à contre-sens, un sens immoral
Je doute je t’offense
Mes conduites ont pris un sens unique
Je n’écoute que ta musique
Ta photo sur le piano inspire mes adagios
Accélère mon tempo
Comme un oiseau blessé, j’ai du mal à voler
Je voudrais tant et tant mais j’ai peur de t’avouer
Qu’importe d’attendre si un jour ou l’autre tu soulages mes souffrances
Qu’importe de comprendre si toi aussi tu penses que c’est plus qu’une romance
J’ai mal, mal d’aimer, c’est peut-être normal mais j’ai tout épuisé
Mes jours et mes nuits se confondent
De tes mots de ta voix je m’inonde
J’ai mal, mal d’aimer, pour moi c’est vital je me sens désabusée
C’est un mal qui me ronge, qui émiette mes songes
Je voudrais te le dire mais j’ai peur…
Qu’importe d’attendre si un jour ou l’autre tu soulages mes souffrances
Qu’importe de comprendre si toi aussi tu penses que c’est plus qu’une romance
Qu’importe d’attendre si un jour ou l’autre tu soulages mes souffrances
Qu’importe de comprendre si toi aussi tu penses que c’est plus qu’une romance
Auteur : Sabine Canton
Compositeur : Natacha Barduzzi
Arrangement : Patrick Jouanneau/Florent Maynard
Clavier : Hervé Cosentino
Batterie : Patrick Jouanneau
Guitare : Florent Maynard
Basse : Frédéric Lerussi
Vocal : Natacha Barduzzi
NE ME DIS PAS
Ne me dis pas que je vais mieux quand mes larmes coulent au fond de moi
Attends un peu si tu t’en vas; quand mon cœur saigne, j’ai un peu froid
Je voudrais faire le tour du monde, prendre par la main ma tête blonde
Cacher toutes ces heures ces secondes où ces foutus sanglots m’inondent
Ferme la porte des amours mortes, laisse mourir mes souvenirs
Eteins la lumière des mensonges et fais briller de nouveaux songes
Je vais mettre tant de temps pour gommer les maux du temps
Mais je conjuguerai un jour le mot bonheur avec toujours
Rien n’effacera tous ces sillons sur mon visage
Rien n’estompera cette encre sur des centaines pages
Alors laisse tous ces soupirs au fil des ans
Laisse courir et mourir…
Je ne dis rien j’écoute un peu
Je bois tes larmes quand tu te noies
J’attends patiente, j’ai peur un peu
Je suis sans arme quand tout fait mal
Pars courir d’autre horizon
Je resterai là, serai ton ombre
Ferai semblant de ne rien voir quand l’arc-en-ciel sera trop sombre
Rien n’effacera tous ces sillons sur mon visage
Rien n’estompera cette encre sur des centaines pages
Alors laisse tous ces soupirs au fil des ans
Laisse courir et mourir…
Auteur/Compositeur : Natacha Barduzzi
Piano /Vocal: atacha Barduzzi
Batterie : Patrick Jouanneau
Guitare : Florent Maynard
Basse : Serge Champetier
L’HOMME QUI HESITE
Je crie des mots, parfois des notes
Pour dire combien il me transporte
Ce sentiment toujours nouveau
La peur me rend un peu idiot
Quel est ton secret derrière ce sourire ?
Que m’as tu donné pour tant de soupirs ?
Je cache ma joie, je cache mes craintes
De peur de voir l’envie renaitre
J’attends passif les coups de poing
En donnant l’air de me soumettre
Quel est ton secret derrière ce sourire ?
Que m’as tu donné pour tant de soupirs ?
C’est l’homme qui hésite, c’est l’homme qui doute
C’est l’homme qui hésite pour tout.
Le jour je rêve les yeux ouverts
La nuit ma tête me fait la guerre
J’écoute le vent dans cette maison
Où rien ne rime avec passion
Quel est ton secret derrière ce sourire ?
Que m’as tu donné pour tant de soupirs ?
C’est l’homme qui hésite, c’est l’homme qui doute
C’est l’homme qui hésite pour tout.
Quel est ton secret derrière ce sourire ?
Que m’as tu donné pour tant de soupirs ?
C’est l’homme qui hésite, c’est l’homme qui doute
C’est l’homme qui hésite pour tout.
Auteur/Compositeur : Natacha Barduzzi
Piano : Natacha Barduzzi
Batterie/Vocals : Patrick Jouanneau
Guitare : Florent Maynard
Basse : Serge Champetier
Vocals : Natacha Barduzzi/Laura Alexandre
PARTIR ENFIN
J’ai le cœur qui pleure, je souffre d’ennui
Le jour sans couleur conjugue les gris
J’attends, je ne sais quoi, qui n’arrive pas
J’ai perdu la foi, qu’est-ce-que je fais là ?
Partir enfin
Sans bagage, sans billet, sans s’retourner
Ne pas attendre demain pour s’évader
Choisir son chemin
Et décider de s’envoler toujours plus loin
S’étourdir, s’enivrer de liberté
Vivre sa vie en toute impunité
Se reconstruire mais s’en aller
En oubliant tout son passé…
Sans s’excuser et sans regret
Le cœur léger
La mémoire perdue, la route de poussière
Troublent ma vue tandis que j’erre
Seule et sans but
Je crie , me désespère
Je n’en peux plus de toute cette misère
Partir enfin
Sans bagage, sans billet, sans s’retourner
Ne pas attendre demain pour s’évader
Choisir son chemin
Et décider de s’envoler toujours plus loin
S’étourdir s’enivrer de liberté
Vivre sa vie en toute impunité
Se reconstruire mais s’en aller
En oubliant tout son passé…
Partir enfin
Sans bagage, sans billet, sans s’retourner
Ne pas attendre demain pour s’évader
Choisir son chemin
Et décider de s’envoler toujours plus loin…
Auteur : Monique Barduzzi
Compositeur : Natacha Barduzzi
Piano/Accordéon/Vocal : Natacha Barduzzi
Batterie : Patrick Jouanneau
Basse : Serge Champetier
Violon : Frédéric Ladame
PLEINE LUNE
Pleine lune
Tu consumes
La folie de tes nuits
Nos rêves
Nous donner le savoir
Nous donner, nous donner le pouvoir
D’illuminer les yeux empressés
De nos enfants
Un court instant
Seulement ces nuit-là
Seulement ces nuits où
On a tout à coup
Une excuse, un mea-culpa
On se dit qu’après tout
C’est la pleine lune
Et pour nous
Elle est importune
Seulement ces nuits-là
Tu es l’excuse
De nos folies
Tu es l’angoisse
De nos nuits
Soit la muse, notre égérie
Elève-nous
Seulement ces nuit-là
Seulement ces nuits où
On a tout à coup
Une excuse, un mea-culpa
On se dit qu’après tout
C’est la pleine lune
Et pour nous
Elle est importune
Seulement ces nuits-là
Auteur : Sabine Canton
Compositeur : Natacha Barduzzi
Batterie : Patrick Jouanneau
Guitare : Florent Maynard
Percussions : Patrick Jouanneau et Serge Champetier
Vocal : Natacha Barduzzi
ECOUTE MOI
A l’idée d’être jugée, pour un mal-être de mon passé
Quand toi seul pouvais m’aider
De toi ou moi, qui condamner ?
A l’idée de ne plus te voir
De vivre encore tous ses déboires
Tu me prives de tant d’espoirs
A qui la faute si tout est noir ?
Mais n’oublie pas que je suis là à t’attendre
Depuis toujours, alors pourquoi me défendre ?
J’attends j’attends ainsi passive
Mais l’heure se fait un peu tardive
Ne juge pas, écoute moi
Tu me demandes de ne pas souffrir
De vivre sans toi sans ta peau tes sourires
Tu me demandes d’exister en oubliant
En oubliant de te désirer
Quelle est la femme qui pourrait boire
Toutes ces paroles si illusoires ?
Tu ne peux pas me condamner quand je ne demande qu’à t’aimer
Mais n’oublie pas que je suis là à t’attendre
Depuis toujours, alors pourquoi me défendre ?
J’attends j’attends ainsi passive
Mais l’heure se fait un peu tardive
Ne juge pas, écoute moi
L’espoir me tourne le dos
Je veux partir loin de mon fardeau
Ne pas vivre sans ton amour
Telle est la sentence sans recours…
Et j’oublierai qu’un jour je voulais t’attendre
Non plus je ne pourrai me défendre
Je pars blesser par cette douleur, et peu m’importe le reste des heures
Tu m’as jugée, je dois m’en aller…
Auteur/Compositeur : Natacha Barduzzi
Piano et Arrangement : Richard Larrozée
Vocal : Natacha Barduzzi